20 ans, Chargée de communication, Chambéry
Tyssia Alessandria est étudiante en Bachelor Marketing et Communication 306, elle a rejoint les équipes communications d'Ipac Bachelor Factory du campus de Chambéry. Dans ce petit témoignage, elle nous parle de son parcours et de ses missions.
Parle-nous de toi ?
J’ai 20 ans et débute cette année un B3 en marketing & communication 360°. Je suis issu d’une filière technologique, BAC STMG option ressources humaines. Ne savant pas ce que je voulais faire, je me suis donc orienté vers un BTS SAM car cela correspondait à une suite logique en rapport à mon bac. Ce BTS ne m’a pas énormément plus et m'a fait me rendre compte que le monde de l’administratif et des notions RH n’était pas fait pour moi.
Pourquoi avoir choisi le bachelor communication 360 ?
J’ai effectué ma deuxième année de BTS en alternance chez EDF en tant qu’assistante de direction, me permettant de faire de nombreuses taches très variées. C’est ainsi que je me suis rendu compte que la création visuelle et l’organisation d’événement me plaisaient vraiment. Je me suis donc naturellement tournée vers un bachelor Marketing Com 360, car je voulais découvrir vraiment tous les aspects de la communication. Je me suis tourné vers Ipac Bachelor Factory parce que je suis issu du bassin chambérien. Après mon premier entretien avec Virginie DOS SANTOS, j’ai été convaincu par le fonctionnement de l’école qui m’a beaucoup plu.
Parle-nous de tes missions sur le campus Ipac Bachelor Factory de Chambéry ?
J'ai pour mission la gestion des réseaux sociaux de Chambéry et d'Albertville, l'animation des campus, je dois trouver des solutions pour développer le sentiment d’appartenance des étudiants pour l'école, notamment grâce à des événements et le programme ambassadeurs.
Qu’est-ce que tu conseillerais à quelqu’un qui a peur de changer de filière pour son Bachelor ?
Je pense que quelqu’un qui souhaite changer de filière pour son bachelor ne devrait pas avoir peur. Nous sommes jeunes et c’est le moment de faire des choix pour son avenir. C’est normal de ne pas trouver sa voix de suite, on se rend compte de ce que l’on aime et de ce que l’on n’aime pas lorsque l’on pratique. Il ne faut donc hésiter pas à changer de filière si cela peut contribuer à notre futur épanouissement professionnel.