Au sein d'Ipac Bachelor Factory Annecy, on apprend le management et le commerce international en faisant, pas seulement en écoutant. Le campus profite du terrain de jeu Savoie–Suisse : projets concrets, stages, et alternance en 3ᵉ année à deux pas du Grand Genève.
Annecy, porte d’entrée vers le commerce international
Le Bachelor Business International s’adresse à celles et ceux qui veulent vite passer de la théorie à l’action. Au menu : analyse de marché, négociation, conformité export, et beaucoup d’anglais professionnel (avec une deuxième langue en bonus). L’idée est simple : te donner des compétences visibles et prouvables pour décrocher un premier poste et évoluer.
Compétences & organisation du cursus
On commence par les bases qui comptent en entreprise : étude de marché, veille concurrentielle, prospection multicanale, construction d’offres export. Tu manipules les Incoterms, la liasse documentaire, les points clés douane/assurance — bref, tout ce qui évite les mauvaises surprises quand une palette traverse une frontière.
Côté langues, c’est concret : simulations de négociation, pitchs produits, mails et devis en anglais. La seconde langue aide à ouvrir des zones supplémentaires. Le rythme alterne cas réels, missions terrain chez des PME locales et debriefs cadrés par l’équipe pédagogique.
L’ouverture internationale se vit via un semestre d’échange, un stage à l’étranger ou des missions export à distance : qualifier des prospects, comprendre les barrières à l’entrée, ajuster la distribution. Annecy, à 1 h de Genève, facilite les projets transfrontaliers et les rencontres pros.
En 3ᵉ année, l’alternance te met aux commandes : portefeuille clients, suivi d’indicateurs, coordination avec la logistique. Les livrables ressemblent à ceux d’un junior en poste : plan d’action export, budget, tableau de bord, analyse des risques pays.
Repères salariaux (fonctions export)
Sur les postes de commercial export, on voit le plus souvent 30 à 58 k€ brut/an (variable inclus). La fourchette varie selon la zone gérée, l’autonomie et la part de développement. Ces repères te servent pour cibler une entreprise d’accueil et préparer ta négociation.
Débouchés et évolutions
Les premiers jobs : assistant export, business developer international, chargé ADV export, commercial sédentaire. Ensuite : chef de zone, responsable grands comptes, parfois management d’équipe.
Les KPI à suivre dès le début : pipeline, taux de conversion, marge par canal, délai d’encaissement. Les secteurs qui recrutent dans la région : outdoor, agro de spécialité, équipements mécaniques, santé, numérique. Le tissu PME en Auvergne-Rhône-Alpes fait toucher du doigt le B2B : cycles plus longs, salons, distributeurs exclusifs, homologations. Pouvoir bouger à l’international reste un vrai plus.
Conformité et risques
On apprend à parler “export” avec les pros : transitaires, assureurs, qualité. Tu travailles pro forma, certificats d’origine, crédits documentaires, règles de marquage. Résultat : moins de frictions, plus de fiabilité.
Méthodes et évaluation
Des cours, des ateliers, des cas issus de situations réelles. On pratique la visio multi-pays, les offres en anglais, l’usage d’un CRM. Les projets fil rouge t’amènent à segmenter-cibler-positionner et bâtir un plan d’entrée marché avec budget et calendrier. L’évaluation regarde la solidité des hypothèses, la qualité des livrables, la conformité et la soutenance.
Les ateliers prix export te font tester coût de revient, marges, frais logistiques, conditions de paiement, et l’impact d’un Incoterm ou d’un taux de change qui bouge. Côté entreprise, tu es accompagné par un tuteur et un maître d’apprentissage. Des points réguliers, des objectifs clairs, et à la fin un portfolio de compétences utile pour candidater ou poursuivre en cycle supérieur.
La formation idéale au sein de l'école de commerce d'Annecy
Le marché cherche des profils capables d’agir vite, de mesurer leurs résultats et de se sentir à l’aise dans un contexte multiculturel. À Annecy, le Bachelor Business International coche ces cases : projets concrets, alternance en 3ᵉ année et vraie ouverture transfrontalière.