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SEBASTIAN BZYMEK, Bachelor Commerce, Marketing & Négociation

28 ans, Responsable des Comptes chez Eviden (Groupe Atos), Paris Ouest

Responsable commercial auprès d'un grand groupe de solutions informatiques à seulement 28 ans et ancien élève du campus Paris Ouest, pas seulement d'IPAC Bachelor Factory, mais également d'Isifa Plus Values, Sebastian a bénéficié d'un parcours tout simplement exemplaire ! Retraçons chaque étape ensemble... 

 

1. Pouvez-vous nous décrire votre parcours et ce qui vous as amené à suivre un cursus de Commerce, Marketing & Négociation ? 

J’ai commencé mon parcours chez Isifa Plus Values ; j’y ai fait 2 ans d’alternance en BTS Commerce International, puis j'ai enchaîné avec une demi-année en autoentrepreneur (un échec, mais qui m’a donné l’opportunité d’occuper des postes concrets assez rapidement). J’ai également été commercial en rachat de crédit pendant un temps, en CDI, pour enchaîner sur une reprise d’études auprès d’IPAC Bachelor Factory, au sein du Bachelor Commerce, Marketing & Négociation. C’est ce diplôme qui m’a servi de tremplin pour entrer en grande école de commerce ; en l’occurrence, la Toulouse Business School, qui est très bien classée en France. Aujourd’hui, je travaille en tant que responsable au sein d’un grand groupe d’informatique : Atos. 

 

2. Considérez-vous que le cursus d’IPAC Bachelor Factory ait bien répondu à vos attentes ? 

Oui, totalement. J’avais vraiment une longueur d’avance sur les profils qui sortaient d’une licence en école de commerce ou en université. Mon cursus était professionnalisant, contrairement au leur, donc j’étais particulièrement bien préparé à ce qui nous attendait en grande école de commerce (notamment grâce à l’alternance). 

 

3. Quels sont les formateurs, formatrices ou les matières qui vous ont le plus apporté, professionnellement, au cours de votre formation ? 

Ces formations sont maintenant bien lointaines pour moi, c’est difficile de me souvenir des détails ! En revanche, je dois dire que mon cours de « mise en œuvre des opérations internationales », celui que j’ai suivi en BTS, m’a beaucoup aidé. Le formateur que j’avais était vraiment une pointure dans son domaine. Sinon, en Bachelor, je ne me souviens plus de son nom, mais le professeur de droit (qui était également président de la Fédération Française de Force) m’a été très bénéfique. Ces enseignants nous guident avec des cas concrets, plutôt que s’éterniser sur de la théorie, et l’alternance permet de mettre en pratique les compétences qu’on développe. 

 

4. Quelles sont vos aspirations pour la suite de votre parcours professionnelle ? 

Je suis dans l’IT par opportunisme, clairement, puisque c’est un marché porteur. On m’a fait confiance sur un poste que je ne devrais pas avoir à 28 ans (je gère une équipe de 20 commerciaux, ce qui est assez conséquent). Pour l’instant, j’ai prévu d’y rester, j’en apprends tous les jours. Je n’ai pas prévu de changer d’entreprise et encore moins de domaine. En revanche, si je change d’entreprise, je changerai sûrement de domaine par la même occasion ; l’IT m’intéresse, mais ça ne me passionne pas. Dans une dizaine d’année, quand j’ai bien monté mon CV et fait mes armes, soit je cible un poste de direction nationale ou européenne au sein de mon entreprise actuelle, soit je change de domaine pour me positionner en tant que directeur commercial auprès d’une autre structure. 

 

5. Quels sont les éléments qui ont fait la différence dans le cadre de votre accompagnement ? 

Son accompagnement m’a beaucoup apporté, surtout sur le plan de l’ambition. Francine Lancien m’a toujours poussé vers le haut. Elle se rendait présente pour ses étudiants, elle répondait à des heures pas possibles... Je sais qu’elle a même aidé à soutenir des élèves en semi-dépression face à leur projet professionnel. Quand j’étais en recherche d’entreprise, elle me montrait quels atouts mettre en avant en entretien. Parfois, sur mon CV, je voyais certaines compétences comme banales, mais elle me rappelait que les recruteurs les recherchaient activement et m’a incité à les mettre en avant. Je ne pense pas que j’aurai trouvé aussi facilement mon alternance sans son soutien. Voilà de nombreuses années qu’elle occupe son poste, ce qui lui a donné une vue assez globale sur ce qui est attendu de la part des élèves en entreprise. 

 

6. Recommanderiez-vous IPAC Bachelor Factory à votre entourage et pourquoi ? 

Oui, mais je leur conseillerais de ne pas forcément se cantonner aux MBA proposés au sein du même campus, à la suite de leur Bachelor. On ne s’en rend pas forcément compte au cours de sa formation, on a tendance à se dire qu’on ne fait pas le poids face aux étudiants de prépa ou de hautes écoles de commerce, mais ce n’est pas du tout le cas. Si on se concentre pendant notre cursus auprès d’IPAC Bachelor Factory et qu’on a des bonnes notes, on peut aspirer aux grandes écoles de commerce. Pour ma part, j’ai été admis à l’EM Lyon, qui fait partie du top 5 à l’échelle nationale, mais j’ai décidé de m’inscrire à Toulouse parce que la situation géographique m’arrangeait plus. Sincèrement, j’étais loin d’être le meilleur de ma classe et ça ne m’a pas empêché d’accéder à ces établissements, donc il faut croire en soi. IPAC Bachelor Factory ouvre beaucoup de portes, c’est un tremplin, mais ça ne doit pas représenter une finalité en soi, si vous souhaitez poursuivre vos études.

 

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