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Pouvez-vous vous présenter ?
Olivier, intervenant-formateur et coach agréé, spécialisé dans la politique commerciale, la communication et la négociation.
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Comment se passe votre confinement ?
Très bien en home sweet home. Les déplacements en voiture et en train ne me manquent pas.
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La mise en place des cours en ligne, quelle organisation ?
2 écran PC, 1 enceinte pour un meilleur son, mon téléphone, et costume-cravate, pour conserver mes rituels et montrer aux étudiants que c’est un cours comme un autre. 30 minutes de mise en place avant l’heure pour éviter les problèmes de connexion. 2-3 pauses de 15 minutes et 30 minutes de déconnexion pour leur permettre de réaliser le ou les exercices proposés à chaque cours puis correction.
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Comment vous êtes-vous adapté ?
Le non-verbal et la dynamique me manquent un peu. La fatigue est aussi davantage ressentie en fin de journée. La situatuon force la créativité : je peux constater que les étudiants sont connectés mais je ne peux pas réellement détecter le présentéisme contemplatif, à savoir : être présent au cours mais faire autre chose en parallèle. Je peux les voir devant leur écran, mais qu'y a-t-il sur leur écran ?
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Votre ressenti par rapport à l’échange avec les étudiants ?
Un inconfort évident dû aux bruits parasites, mais dans l'ensemble ça va.
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Que pensez-vous de la mise en place des cours en ligne ?
Ce sont de vrais cours en présentiel, retransmis en live. J’utilise exclusivement mes cours, mes sources et mes exercices.
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Comment vivez-vous cette situation en tant que formateur ?
Je mets toute mon énergie, toute ma bienveillance, toute mon empathie au service d’étudiants qui sont en demande de mon professionnalisme pour être à la hauteur de leurs attentes. Cela semble être le cas malgré la situation complexe.
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Quels sont les points forts de l’Ipac Bachelor Factory selon vous ?
J’apprécie l’optique « employabilité » de l’école : confier aux étudiants les savoirs et compétences leur permettant rapidement d'être, au sortir de leur diplôme, recrutés et opérationnels. Et ce grâce à des transmissions de savoirs concrets et factuels plutôt que de concepts « académiques ». Dans le contexte actuel, la mobilisation des responsables pédagogiques, assistantes et collègues formateurs est un atout plus qu’appréciable. Je les en remercie ici.
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