Actualité

Chambéry-Albertville / Un Bachelor aux 4 coins du monde

Rencontre avec Kenn, étudiant en 1ère année de Bachelor Open MGE à l’école de commerce Ipac Bachelor Factory de Chambéry-Albertville au parcours atypique et disséminé d’expérience et de projets au quatre coin du monde.

Parlez-nous de votre parcours scolaire, comment avez-vous choisi cette formation ?

J’ai passé un Baccalauréat Economique et Social à Madagascar, je suis ensuite allé au Québec où j’ai effectué une année de Sciences Politiques avant de me diriger vers l’Analyse Economique durant deux années.

Je me suis rendu compte que je ne me voyais pas continuer dans cette voie. Depuis tout jeune je m’intéresse aux autres et j’aime le contact humain, j’ai donc décidé de donner un horizon social à mon orientation. En faisant des recherches sur internet, je suis tombé sur le Bachelor Open de l’Ipac Bachelor Factory qui proposait une spécialisation possible en Economie Sociale et Solidaire. Appuyé par les avis de mon entourage qui connaissait des personnes inscrites dans l’école, j’ai sauté le pas et envoyé mon dossier de candidature à l'école de commerce de Chambéry.

Êtes-vous satisfait de votre choix d’orientation aujourd’hui ?

Je suis très content de mon choix notamment grâce à l’aspect pratique de la formation Bachelor en 3 ans. Dès les premiers mois j’ai été en contact avec des professionnels et qui m’ont permis de valider mon choix de me spécialiser en Economie Sociale et Solidaire. Je dois également effectuer un stage professionnel à la fin de ma première année. J’ai déjà commencé à tisser mon réseau professionnel, qui j’en suis sûr me sera d’une grande aide par la suite.

Quels sont vos projets pour la suite de votre parcours ?

Mon projet à terme serait d’intégrer une ONG en Afrique Australe, puisque je suis originaire du Mozambique. Le Bachelor me permet d’appréhender également les notions de management que ce soit des hommes ou des organisations, chose qui aujourd’hui me semble nécessaire même dans le domaine social. Par cet intermédiaire je pourrai peut-être un jour créer ma propre association.